Injection d'acide polylactique | Médecine esthétique - Dr Eric ALLAMAGNY, ORL, Chirurgien cervico-facial, Médecine esthétique, Nancy (54) Metz (57) Lorraine France

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MÉDECINE ESTHÉTIQUE
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Injection d'acide polylactique
SCULPTRA® NEW-FILL®


L'acide poly-L-lactique est un polymère de synthèse biocompatible et biodégradable.
Il est utilisé sous le nom de SCULPTRA® en médecine esthétique et sous le nom de NEW-FILL® dans le comblement des lipoatrophies du visage.
Il est injecté en voie sous-cutanée profonde.
Ses propriétés mécaniques et sa résorbabilité prolongée font de cet implant un implant approprié pour remplir les zones cutanées déprimées.
Il est indiqué pour l’augmentation de volume (volumateur) des zones déprimées notamment la correction des dépressions cutanées telles que les rides, sillons, cicatrices. Les  zones d’injections possibles sont les tempes, la vallée des larmes, les pommettes, les joues, le dos des mains. Il est particulièrement indiqué dans le cas des lésions cutanées liées au vieillissement des tissus ou dans le traitement des lipoatrophies liées aux traitements antirétroviraux (NEW-FILL®).
Il faut éviter la prise d’anticoagulants, d’anti-inflammatoires, de vitamine C ou d’aspirine dans les huit jours précédents l’injection pour éviter les risques de saignement ou d’hématome localisés au site d’injection.
L’innocuité de SCULPTRA® chez la femme enceinte ou chez l’enfant n’a pas été établie et l’injection doit être évitée.
Il ne doit pas être utilisé chez les patients présentant des cicatrices chéloïdes.
Les interactions de SCULPTRA® avec des médicaments ou d’autres substances ou implants n’ont pas été étudiées.
Il ne doit pas être associé avec un traitement laser, peeling chimique ou dermabrasion.


Produit d'injection : l'acide polylactique (SCULPTRA® ou NEW-FILL®)

Polymère de synthèse biocompatible et biodégradable. Il est injecté en voie sous-cutanée profonde. Ses propriétés mécaniques et sa résorbabilité prolongée font de cet implant un implant approprié pour remplir les zones cutanées déprimées.
Il est indiqué pour l’augmentation de volume des zones déprimées notamment la correction des dépressions cutanées telles que les rides, sillons, cicatrices, le rajeunissement des mains. Il est particulièrement indiqué dans le cas des lésions cutanées liées au vieillissement des tissus ou dans le traitement des lipoatrophies liées aux traitements antirétroviraux.

EFFETS SECONDAIRES

Les effets secondaires habituellement liés aux injections peuvent se produire saignements transitoires de la taille d’une pointe d’aiguille ou douleurs transitoires, rougeurs localisées au point d’injection, ecchymoses, voire léger œdème, disparaissant dans la plupart des cas en deux à six jours. Possibilité d'hématome.
Selon les données de post-commercialisation et des études cliniques, la formation de nodules a été signalée.
Des nodules invisibles mais palpables, des nodules visibles ou des zones indurées se sont formées dans la partie injectée. La formation des nodules est quelques fois associée à une inflammation ou à une décoloration.
Masser la zone traitée afin d’assurer une bonne distribution du produit peut  minimiser la formation de nodules et doit être réalisé périodiquement pendant plusieurs jours par le patient après le traitement afin que la correction paraisse naturelle.
D’autres effets indésirables rares ont été rapportés abcès, formation tardive d’un granulome, réaction allergique, hypertrophie ou atrophie cutanée. Le traitement des nodules ou de la formation tardive du granulome peut inclure des injections intralésionnelles multiples de corticoïdes ou d’autres substances pouvant risquer une petite atrophie cutanée ou encore leur excision facultative chirurgicale. Risque d’œdème palpébral en cas de poches palpébrales préexistantes, même peu visibles, en particulier en cas d’ injection au niveau de la pommette, réversible plus ou moins rapidement selon la résorption de l’hématome ou de l’acide polylactique.
Après l’injection, de la glace peut être appliquée sur la zone traitée (dans un linge adapté évitant tout contact direct avec la peau) afin de réduire les effets indésirables liés à l’injection.
Une correction supplémentaire peut être réalisée un mois après le traitement initial.
Le résultat définitif s’apprécie un à deux mois après l’injection et persiste de un à deux ans environ en fonction de la résorption variable en fonction des patients.
Présentation
du Dr Éric Allamagny


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